Ce que la politologue Hannah Arendt définissait comme une vita activa digne de ce nom n’a rien à voir avec la routine qui contraint à faire un job pénible/inutile/nuisible en échange d’un salaire.

Travailler pour mériter sa place dans la société est devenu une norme incontournable.

Mais à quel prix ?

Car dans/en dehors de ce temps de cerveau dépensé à « gagner sa vie », quel espace reste-t-il pour penser :

• au sens de son existence ?
• à l’avenir de la planète, des générations futures et présentes ?
• à s’émerveiller devant les beautés de la nature et de la culture ?
• à exprimer sa singularité, ses idées et ses droits ?
• à prendre soin des autres et de soi ?

70 ans avant la série Squid Game, Arendt mettait en garde contre les dérives d’une société qui, en se modernisant, n’a plus le « souci du monde ». Où l’accélération du progrès technologique combinée à l’obsession du profit riment avec un sentiment d’aliénation pour les individus.

Aujourd’hui, face à l’explosion du chômage, des bullshit jobs et emplois précaires, de modes de management toxique, de plus en plus de gens s’interrogent sur le SENS, le TEMPS et la PLACE que le travail occupe dans leurs vies.

VITA HACKTIVA s’inscrit dans une perspective durable et inclusive de la vie active, inspirée de la philosophie d’Hannah Arendt.

Là où chacun.e dispose d’un pouvoir d’action, de « faire société », en apportant sa pierre à l’édifice d’un futur collectif…indépendamment de son statut social !

Cette démarche insiste sur l’urgence de re-penser collectivement le sens de notre vie active au-delà d’une contribution au PIB.

L’accent y est mis sur un nouvel indicateur de croissance (d’ordre qualitatif !) : la Beauté Intérieure Brute.

Découvrir sa BIB, c’est (re)trouver son élan vital, et choisir de le mettre au service du Bien-être commun !